Important
de profiter de l'agenda olympique actuel à Sotchi pour dissuader les éventuels
téméraires, alors que les résultats d'une recherche parue dans The Lancet nous
apprennent que "près d’un homme russe sur quatre meurent avant l’âge de 55
ans, et la vodka serait en partie responsable". L'étude menée auprès de
151 000 personnes pendant dix ans précise "qu'un fumeur de 35 ans buvant
plus de 1,5 litres de vodka par semaine a 35% de chance de mourir dans les
vingt années qui suivent, alors que ceux buvant moins de 0,5 litres diminuent à
16% leur risque de décès". Jürgen Rehm de l’Université de Toronto cité par
le Centre canadien Science et Média estime que la consommation massive de vodka
en une soirée (“binge drinking”) explique aussi ce taux anormalement élevé
de décès.
vendredi 14 février 2014
Je vous annonce mon retour
Il y a longtemps que je vous ai lâchés. Mais cela n'a, à aucun moment, cessé de me préoccuper. Je me suis en permanence voulu de rompre le contact de façon aussi brutale avec vous, alors que vous êtes des centaines à m'écrire pour me faire part de votre intérêt par rapport à ce blogue. Pour moi, c'est devenu un devoir aujourd'hui de vous annoncer mon retour. Je l'avais déjà fait un an plus tôt, sans tenir parole. Mais cette fois-ci, la promesse sera tenue. Nous parlerons de science sous toutes ses coutures...vous verrez. Nous ne nous contenterons pas de vous faire promener dans les grands enjeux savants, mais nous essaierons de vous montrer que la Science est partout et en tout temps dans votre vécu. Des nouvelles technologies, à l'environnement en passant par votre cuisine, vos rapports sociaux, vos émotions, vos habitudes culturelles...il y a place entière à la culture. C'est ce que nous verrons ensemble.
Un lâcheur ne gagne pas et un gagneur ne lâche pas. Voilà pourquoi mon retour était nécessaire. À tout moment!
Un lâcheur ne gagne pas et un gagneur ne lâche pas. Voilà pourquoi mon retour était nécessaire. À tout moment!
samedi 23 février 2013
Sommes-nous tous robotisés?
Godefroy Macaire Chabi-
Devrions nous définitivement vivre avec l'idée que les robots et nous sommes des composantes d'une même entité? S'il est clair que notre conscience d'humains nous distingue de la machine, l'emprise de cette dernière sur notre vécu se fait de plus en plus insistante au point d'inquiéter voire de prêter à des questionnements.
La fascination du robot, les élèves commencent à la vivre par l'intégration d'ateliers en robotique dans les activités scolaires. Une bonne chose, pour donner le goût des sciences et de la technologie à l'âge où le voyage dans le monde des machines reste une préoccupation essentielle.
Les élèves d'une école du Québec ont commencé l'expérience, et malgré les questionnements qui ressortent du rapport aux robots, on peut encore observer que c'est peut-être une voie qui est tracée dans la carrière de ces enfants.
samedi 26 janvier 2013
L'avenir hivernal du Québec compromis par le changement climatique?
par Godefroy Macaire Chabi (d'après une entrevue ASP)
L'augmentation moyenne de la température annuelle pourrait dépasser 7 degrés au Québec pour la fin du siècle actuel par rapport au précédent, selon la spécialiste en simulations climatiques, Dominique Paquin. Cette augmentation est au-delà de la moyenne du globe que l'on situe entre 1.1 et 6.4 degrés. C'est en s'interrogeant dans une tribune à l'Agence Science Presse sur ce que réserve l'avenir pour les hivers québécois que la chercheure en arrive à des prédictions nuancées en termes de précipitations. Selon les régions et les saisons, fait-elle remarquer, il y aura une augmentation des précipitations ou pas de changement. "Il est difficile de donner l'heure juste", mentionne-t-elle.
Une chose est sûre, elle préconise de commencer à oublier l'épisode des grands froids. Car "ils seront de plus en plus rares". En revanche, il est prévu que le Nord québécois connaisse des chutes de neige "fréquentes et abondantes". Le Sud québécois verra quant à lui des hivers plus courts, avec des épisodes de redoux, de pluie hivernale et de gel-dégel.
lundi 23 janvier 2012
La plus forte éruption solaire depuis 2005 frappe la Terre
Godefroy Macaire Chabi
Les scientifiques américains de l'Administration nationale des océans et de l'atmosphère en ont fait l'annonce. De nombreuses particules de protons sont projetées sur la surface de la Terre à une vitesse astronomique de 6,4 millions de kilomètres carrés. Il s'agit d'une éruption solaire. Les astrophysiciens avertissent surtout que ce phénomène pourrait perturber les communications par satellite et provoquer une gène dans la navigation aérienne, les plateformes pétrolières et les explorateurs, essentiellement au niveau des pôles.
Cette éruption solaire est la plus forte jamais enregistrée depuis 2005. Elle se classe en catégorie trois sur une échelle qui en compte cinq.
Les scientifiques américains de l'Administration nationale des océans et de l'atmosphère en ont fait l'annonce. De nombreuses particules de protons sont projetées sur la surface de la Terre à une vitesse astronomique de 6,4 millions de kilomètres carrés. Il s'agit d'une éruption solaire. Les astrophysiciens avertissent surtout que ce phénomène pourrait perturber les communications par satellite et provoquer une gène dans la navigation aérienne, les plateformes pétrolières et les explorateurs, essentiellement au niveau des pôles.
Cette éruption solaire est la plus forte jamais enregistrée depuis 2005. Elle se classe en catégorie trois sur une échelle qui en compte cinq.
samedi 7 janvier 2012
La science reprend sur ce blog
Après plusieurs mois de congé de publication sur mon blog, je suis tout sourire de vous annoncer la bonne nouvelle d'une reprise prochaine. J'essaierai, malgré diverses occupations professionnelles de remplir le contrat qui me lie à mes lecteurs que vous constituez. Je porterai la science et la culture dans vos coeurs, dans vos yeux, dans vos esprits. Les prochaines parutions sont attendues pour très bientôt. Meilleurs voeux à tous mes lecteurs et visiteurs. Ue année remplie de belles perspectives scientifiques et d'informations suscitant espoirs. A très vite!!!
lundi 12 septembre 2011
Des toxines pour protéger les aliments contre les insectes
Godefroy Macaire Chabi
Des aliments résistent aux insectes grâce à des protéines de toxines qui s’y introduisent par génie génétique. Ces toxines vont détruire les insectes en perforant les membranes de leurs cellules. Un chercheur du Groupe d’études des protéines membranaires, GÉPROM de l’Université de Montréal a consacré ses études sur ce mécanisme moléculaire. Cette recherche a valu au professeur Rikard Blunk le prestigieux Prix Traditional Paul F. Cranefield de la Society of General Physiologists.
Les toxines du bacille de Thuringe, dénommées Cry1Aa et étudiées dans le cadre de cette recherche «détruisent les larves des insectes dans plusieurs cultures transgéniques, y compris celles destinées à la consommation humaine pour les rendre résistantes aux insectes prédateurs » note un communiqué de l’Université de Montréal.
Pour atteindre ces résultats, «les chercheurs ont élaboré une puce pour étudier les protéines introduites dans des parois cellulaires artificielles au moyen d’ondes fluorescentes », poursuit le texte.
L’étude a bénéficié d’une subvention du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, du Programme des chaires de recherche du Canada, de la Fondation canadienne pour l’innovation, du Fonds de la recherche en santé du Québec et du Fonds québécois de la recherche sur la nature et les technologies.
Des aliments résistent aux insectes grâce à des protéines de toxines qui s’y introduisent par génie génétique. Ces toxines vont détruire les insectes en perforant les membranes de leurs cellules. Un chercheur du Groupe d’études des protéines membranaires, GÉPROM de l’Université de Montréal a consacré ses études sur ce mécanisme moléculaire. Cette recherche a valu au professeur Rikard Blunk le prestigieux Prix Traditional Paul F. Cranefield de la Society of General Physiologists.
Les toxines du bacille de Thuringe, dénommées Cry1Aa et étudiées dans le cadre de cette recherche «détruisent les larves des insectes dans plusieurs cultures transgéniques, y compris celles destinées à la consommation humaine pour les rendre résistantes aux insectes prédateurs » note un communiqué de l’Université de Montréal.
Pour atteindre ces résultats, «les chercheurs ont élaboré une puce pour étudier les protéines introduites dans des parois cellulaires artificielles au moyen d’ondes fluorescentes », poursuit le texte.
L’étude a bénéficié d’une subvention du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, du Programme des chaires de recherche du Canada, de la Fondation canadienne pour l’innovation, du Fonds de la recherche en santé du Québec et du Fonds québécois de la recherche sur la nature et les technologies.
Inscription à :
Articles (Atom)