samedi 5 septembre 2015
Une surchauffe de neurones à l'origine du Parkinson
Une équipe de chercheurs conduite par Louis-Éric Trudeau du Département de pharmacologie de l'Université de Montréal a publié les résultats d'une recherche dans la revue Current Biology qui démontre que la vitesse élevée de fonctionnement de certaines neurones joue un rôle dans les manifestations de la maladie de Parkinson. Les neurones en question sont indispensables dans le contrôle du mouvement du cerveau, fait remarquer l'étude. Selon l'auteur principal de la recherche Louis-Éric Trudeau, comme les neurones en question doivent produire suffisamment d'énergie pour fonctionner, cela entraîne leur épuisement et elles meurent de façon prématurée. La surchauffe des neurones elles-mêmes est provoquée par la présence de cellules ayant de nombreux embranchements. Les chercheurs constitués non seulement de l'équipe de l'Université de Montréal mais aussi des universités d'Ottawa et de Laval espèrent que la recherche pourrait ouvrir la voie à la mise au point de médicaments qui bloqueraient le dysfonctionnement quant à la production d'énergie par les neurones. (Source: Université de Montréal)
mercredi 17 décembre 2014
Le génome des ignames africaines comporte des séquences virales
Des études réalisées par le Centre International en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) et l'Institut National de Recherche Agronomique (INRA) avec d'autres partenaires comme le NRI et l'IITA viennent de démontrer que le génome des ignames africaines cultivées surtout en Afrique de l'Ouest comporte des séquences virales de badnavirus. Ces virus infectent les plantes tropicales et sont le vecteur de maladies graves. Des séquences virales avaient été découvertes chez le bananier.
dimanche 14 décembre 2014
La pomme de terre contre l'obésité
Godefroy Macaire Chabi
Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université McGill au Canada vient de démontrer qu'un extrait d'une substance contenue dans la pomme de terre et riche en polyphénols peut permettre de limiter l'obésité chez les personnes. Les chercheurs ont travaillé sur des souris qu'ils ont rendues obèses avant de leur administrer la substance en question. Ils ont constaté que les animaux ont perdu du poids. L'auteur principal de la recherche est le professeur Stan Kubow, de l'École de diététique et de nutrition humaine de l'Université McGill.
http://www.mcgill.ca/channels/fr/news/un-extrait-de-pomme-de-terre-pour-controler-l%E2%80%99obesite-240621
Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université McGill au Canada vient de démontrer qu'un extrait d'une substance contenue dans la pomme de terre et riche en polyphénols peut permettre de limiter l'obésité chez les personnes. Les chercheurs ont travaillé sur des souris qu'ils ont rendues obèses avant de leur administrer la substance en question. Ils ont constaté que les animaux ont perdu du poids. L'auteur principal de la recherche est le professeur Stan Kubow, de l'École de diététique et de nutrition humaine de l'Université McGill.
http://www.mcgill.ca/channels/fr/news/un-extrait-de-pomme-de-terre-pour-controler-l%E2%80%99obesite-240621
lundi 27 octobre 2014
Ne pas cultiver l'indifférence face au patrimoine audiovisuel
Aujourd'hui, 27 octobre, l'Unesco souligne la journée mondiale de la préservation et de la sauvegarde du patrimoine audiovisuel. Pour moi, cela revêt une importance capitale. Comme journaliste, les archives audiovisuelles représentent pour moi des matériaux de premier plan et dans mon cursus universitaire, il m'est arrivé de questionner l'intérêt que nous portons à ces documents qui s'évaporent dans plusieurs contextes dans l'indifférence totale. Le problème, la conscience de la fragilité de ce patrimoine est encore faible voire inexistante. Le contexte du tout numérique laisse aussi à penser qu'il n'y a pas danger. Or, au-delà du danger, il y a même péril en la demeure. Tenez plusieurs millions d'heures de radio, de télévision et de films risquent d'être compromises si la prise de conscience ne s'organise pas assez rapidement.
jeudi 6 mars 2014
La mémoire mondiale pourrait chauffer
Une étude publiée par Environmental Research Letters décrit un scénario inquiétant pour 136 sites du patrimoine mondial de l'UNESCO. En effet, ceux-ci sont menacés par la possibilité d'un réchauffement de la température de 3 degrés au cours des deux prochains millénaires. Ainsi plusieurs sites qui font surtout la fierté des conservateurs du patrimoine et des pays risquent d'en payer le coût.
On cite notamment la Statue de la Liberté à New York, le palais de Westminster et la Tour de Londres, le Mont Saint-Michel à Paris, le Vieux-Québec, le Vieux-Lunenberg en Nouvelle-Écosse et l'Anse-aux-Meadows au Canada.
Ce qui est mis en cause, c'est surtout la fonte des calottes glaciaires de l'Arctique et du Groenland. L'inondation des sites constitue les conséquences qui peuvent en résulter
En 2007, l'UNESCO avait déjà produit un rapport intitulé « Etudes de cas sur les changements climatiques et le patrimoine mondial » dans lequel il avait indiqué que 830 sites naturels et cutlurels inscrits sur la Liste du patrimoine mondial étaient menacés. Parmi ces sites se trouvent plusieurs cités dans l'étude de Environmental Research Letters.
On cite notamment la Statue de la Liberté à New York, le palais de Westminster et la Tour de Londres, le Mont Saint-Michel à Paris, le Vieux-Québec, le Vieux-Lunenberg en Nouvelle-Écosse et l'Anse-aux-Meadows au Canada.
Ce qui est mis en cause, c'est surtout la fonte des calottes glaciaires de l'Arctique et du Groenland. L'inondation des sites constitue les conséquences qui peuvent en résulter
En 2007, l'UNESCO avait déjà produit un rapport intitulé « Etudes de cas sur les changements climatiques et le patrimoine mondial » dans lequel il avait indiqué que 830 sites naturels et cutlurels inscrits sur la Liste du patrimoine mondial étaient menacés. Parmi ces sites se trouvent plusieurs cités dans l'étude de Environmental Research Letters.
vendredi 14 février 2014
La vodka tue?
Important
de profiter de l'agenda olympique actuel à Sotchi pour dissuader les éventuels
téméraires, alors que les résultats d'une recherche parue dans The Lancet nous
apprennent que "près d’un homme russe sur quatre meurent avant l’âge de 55
ans, et la vodka serait en partie responsable". L'étude menée auprès de
151 000 personnes pendant dix ans précise "qu'un fumeur de 35 ans buvant
plus de 1,5 litres de vodka par semaine a 35% de chance de mourir dans les
vingt années qui suivent, alors que ceux buvant moins de 0,5 litres diminuent à
16% leur risque de décès". Jürgen Rehm de l’Université de Toronto cité par
le Centre canadien Science et Média estime que la consommation massive de vodka
en une soirée (“binge drinking”) explique aussi ce taux anormalement élevé
de décès.
Je vous annonce mon retour
Il y a longtemps que je vous ai lâchés. Mais cela n'a, à aucun moment, cessé de me préoccuper. Je me suis en permanence voulu de rompre le contact de façon aussi brutale avec vous, alors que vous êtes des centaines à m'écrire pour me faire part de votre intérêt par rapport à ce blogue. Pour moi, c'est devenu un devoir aujourd'hui de vous annoncer mon retour. Je l'avais déjà fait un an plus tôt, sans tenir parole. Mais cette fois-ci, la promesse sera tenue. Nous parlerons de science sous toutes ses coutures...vous verrez. Nous ne nous contenterons pas de vous faire promener dans les grands enjeux savants, mais nous essaierons de vous montrer que la Science est partout et en tout temps dans votre vécu. Des nouvelles technologies, à l'environnement en passant par votre cuisine, vos rapports sociaux, vos émotions, vos habitudes culturelles...il y a place entière à la culture. C'est ce que nous verrons ensemble.
Un lâcheur ne gagne pas et un gagneur ne lâche pas. Voilà pourquoi mon retour était nécessaire. À tout moment!
Un lâcheur ne gagne pas et un gagneur ne lâche pas. Voilà pourquoi mon retour était nécessaire. À tout moment!
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